Devenir l’artisan-e de son propre bonheur …
Beau projet non ? Et pourtant, rien que d’y penser, on a parfois le trouillomètre à zéro, le moral dans les chaussettes, l’impression que c’est l’Everest !
Comment faire alors ? se positionner et prendre sa responsabilité ! Dans chaque action, émotion, réaction, il y a tout d’abord un choix. Cela vous parle ?
Cet objectif ambitieux – être à 100% acteur ou actrice de sa vie – a quelque chose de bloquant, voire de paralysant. En effet, la notion de responsabilité sous-jacente est évidente, mais peut stresser. On s’interroge, comment pourrais-je avoir un pouvoir pareil sur ma vie?
Construire mon bonheur ? Vraiment ?
Je dis OUI, un grand OUI, ferme et ancré.
Comment faire ?
A titre personnel, je pense réellement que nous sommes chacun responsable de notre vie, de notre incarnation (j’y reviendrai) et que nous avons tous la possibilité de nous forger un avenir radieux. Ceci à deux conditions : le vouloir, et s’en donner les moyens.
Dire OUI
Quand je dis oui à la vie, oui à ma responsabilité, oui je veux être heureux-se, je me positionne. Et pour pouvoir me positionner, je dois être fermement convaincue de mes propos, de mon postulat de base et de ma capacité à me mettre en marche. C’est donc avant tout une question de confiance, en la vie, en soi, en l’Univers (ou Dieu, Allah, ou toute autre Divinité qui vous touche).
« Mais je n’ai pas confiance » me direz-vous !
« Avec tout ce qui m’est déjà arrivé, et toutes les méchancetés que les gens m’ont faites, comment veux-tu que je me sente responsable ? C’est eux qui ont voulu me … (Complétez !) »
« L’enfer, c’est les autres » ça n’est pas moi qui le dit, c’est Sartre.
OK, c’est vrai, vous n’êtes pas seul-e-s sur terre, et si vous avez des relations, il se peut que certaines n’aient pas été confortables (je pèse mes mots). Je comprends, je l’ai vécu également. Mais où la notion de responsabilité entre en jeu, c’est dans le positionnement. Comment ai-je (moi toute seule) décidé de réagir dans cette situation.
Faire des choix
C’est toujours une question de choix. Je peux décider de pleurer, de frapper, d’insulter, de me battre ou de fuir, mais je peux également décider d’accepter, d’en prendre mon parti, d’apprendre la leçon que la vie a mise sur mon chemin, et d’avancer. Cela fait, ma confiance en la vie et en mes capacités (d’adaptation, de voir le positif en toute chose, d’apprentissage, etc.) augmente. Et je serai mieux à même de réagir la prochaine fois, si prochaine fois il y a.
Si ça ne fonctionne pas ?
Tout cela fait, je tombe toujours et encore dans les mêmes travers. Comment vais-je me donner les moyens de passer au travers ?
Différentes thérapies existent, des plus courtes au plus longues, des retraites spirituelles en silence aux groupes de paroles en passant par différentes techniques, kinésiologie, yoga, Shiatsu, méditation, art-thérapie, faire des enfants (je plaisante, mais qu’à moitié, j’y reviendrai également).
Discutez avec vos proches, avec vos personnes de confiance, et demandez de l’aide. Il est important de ne pas rester seul-e face aux difficultés quand elles semblent devenir insurmontables.
La kinésiologie est une technique incroyable pour traiter ce qui est des blocages inconscients et des réactions automatiques. Travaillant sur les comportements, les changements et les prises de conscience sont généralement au rendez-vous et l’évolution rapide. Pour plus de renseignements, contactez-moi.
Si vous souhaitez aller plus loin, je vous recommande différents ouvrages :
* Plus jamais victime, de Pierre Pradevand
* L’essentiel du lâcher-prise, Rosette Poletti
* Les 4 accords toltèques, Miguel Ruiz
Avec toute ma compassion, Merryl